D’après une évaluation psychiatrique, plutôt que d’accepter et d’assumer ses erreurs, Robert Sylvester Kelly, alias R. Kelly, s’en est, au contraire, pris à son ex-femme, Drea Kelly, l’accusant de s’être séparée de ses enfants adultes, Joann (24 ans), Jaah (22 ans) et Robert Kelly, Jr. (20). Cette stratégie du crooner, originaire de Chicago, dans l’Illinois, est allée à son désavantage, au lieu de susciter la compassion et la clémence du juge.
Il sera difficile, voire impossible, au célèbre crooner américain, R. Kelly, de se sortir de l’impasse, dans laquelle le chanteur se trouve, actuellement. Avant le procès de Robert Kelly, une évaluation psychiatrique a été recommandée par la cour, en vue de comprendre ce qui a pu motiver les déviances s£xuelles du chanteur, apprend-on de BET.
Selon le chanteur, « ses antécédents s£xuels sont liés à un conflit avec son ex-femme »
Au terme de cet examen approfondi, à en croire le même média, il ressort que le chanteur, au lieu de reconnaître et d’assumer ses erreurs, a adopté une démarche surprenante. Selon les experts, qui ont écouté R. Kelly Sr., l’homme de 55 ans pense que c’est le « comportement déviant » de son ex-femme, Drea Kelley, qui est à la base de ses agissements. Pour appuyer sa thèse, le producteur a fait mention du fait que Drea s’est séparée de ses enfants adultes, Joann (24 ans), Jaah (22 ans) et Robert Kelly, Jr. (20).
En outre, le rapport a établi les interférences de la carrière de Drea avec celle de Robert, selon l’avis du chanteur ; Drea, faisant partie des danseuses du chanteur de « I Believe I Can Fly ». Selon les dires du natif de Chicago, Son ex-femme lui aurait promis d’être une mère dévouée, au lieu de la danseuse et chorégraphe chevronnée qu’elle est, aujourd’hui. « M. Kelly a déclaré que ses antécédents s£xuels étaient liés à un conflit avec son ex-femme ou à un éloignement ultérieur de ses enfants. », selon les lignes du rapport.
En définitive, si R. Kelly est devenu le prédateur s£xuel qu’il est, ce qui lui vaut ce lynchage médiatique, c’est parce que, à l’en croire, Drea Kelly n’a pas eu à jouer son rôle d’épouse attentionnée et de mère dévouée.
Malheureusement, cette stratégie du chanteur, dont les comptes sociaux ont été supprimés, au milieu de ce scandale, ne lui a pas rendu service. Au contraire, la démarche, exempte de remords, a poussé la cour à le condamner à 30 ans de prison.